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Albi entre la fin du XIXe siècle et 1930

Cité épiscopale d’Albi

Dans la seconde moitié du XIXe siècle et au début du XXe, Albi connaît un grand développement économique et un net accroissement démographique, accompagnés de grands aménagements urbains.

Cette période de développement et de grands travaux d’urbanisme se poursuit jusqu’aux années 1930. Elle est marquée par le triomphe de la chapellerie, l’ouverture des mines d’Albi-Cagnac (1890), la réalisation de la Verrerie ouvrière (1896), la construction du théâtre (1892), de la poste (1900), du marché couvert (1902) et l’inauguration du musée Toulouse-Lautrec (1922).

En effet, après la mort de l’artiste en 1901, sa mère, la comtesse Adèle Tapié de Celeyran, ayant essuyé le refus des musées nationaux, décide de léguer les oeuvres de son fils à la ville d’Albi (donation du 31 juillet 1922). Le palais de la Berbie, ayant déjà été relevé du siège archiépiscopal en 1823, perdit définitivement sa fonction primitive en 1905, sous l’effet de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat.

Il devint alors l’écrin de la plus grande collection au monde des œuvres de Toulouse-Lautrec. Cette période 1850-1930 constitue incontestablement un des grands moments de l’histoire d’Albi.


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