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Les fortifications

Cité épiscopale d’Albi

Des remparts, il ne reste aujourd’hui qu’une partie au palais de la Berbie et le long du boulevard Sibille. Trois kilomètres de murailles enserraient autrefois la ville au niveau du jardin national, de la place du Vigan et des lices Pompidou.

Au milieu du XVIIIe siècle, on assiste à leur démantèlement avec la création de la route royale Toulouse-Rodez qui se trouve à l’emplacement des anciens fossés à l’est (lices Pompidou).

Le Pont-vieux était aussi fortifié avec une tour-porte située avant le pont-levis, à l’angle du quai Choiseul et de la rue de la Grand côte qui était alors la rue principale menant à la ville. Cette porte dite du Tarn subsiste dans sa partie basse sous la chaussée. A noter en contrebas, non loin de l’ancien moulin du Chapitre, la présence de vestiges du port vieux de la ville où s’amarraient par le passé les gabarres transportant les marchandises.

La rue de la Souque comme celle de la Buade, qui la prolonge, sont bordées de maisons bien restaurées, qui alternent façades à pans de bois, façades de brique nue ou de brique enduite, dans un havre de tranquillité.


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